La présence de ces deux missionnaires en Polynésie française, du 14 au 24 juin prochains, s’inscrit dans le cadre de l’élaboration du Contrat de redynamisation des sites de défense (CRSD), après l’annonce du départ programmé d’environ 1000 personnels militaires et civils, ainsi que leurs familles, qui devraient quitter le territoire dans les années à venir.
Cette mission correspondant à la première phase de diagnostic, poursuit deux principaux objectifs : d’une part, l’étude des impacts sociaux et territoriaux liés au désengagement des forces de défense dans les six communes concernées (Arue, Faa’a, Mahina, Papeete, Pirae et Taiarapu-est) par le désengagement progressif des forces armées ; d’autre part, l’analyse des filières économiques potentielles créatrices d’emplois, sur le double périmètre communal et territorial.
Alors que la Polynésie française connaît actuellement de graves difficultés économiques et sociales, le vice-président suit avec une attention particulière l’évolution de ce dossier, tout en veillant, en parfaite collaboration avec l’Etat, à ce que les conditions soient réunies pour que cette restructuration des forces armées entraîne le moins de bouleversements possibles pour le Pays en général, et les communes en particulier.
Cette mission correspondant à la première phase de diagnostic, poursuit deux principaux objectifs : d’une part, l’étude des impacts sociaux et territoriaux liés au désengagement des forces de défense dans les six communes concernées (Arue, Faa’a, Mahina, Papeete, Pirae et Taiarapu-est) par le désengagement progressif des forces armées ; d’autre part, l’analyse des filières économiques potentielles créatrices d’emplois, sur le double périmètre communal et territorial.
Alors que la Polynésie française connaît actuellement de graves difficultés économiques et sociales, le vice-président suit avec une attention particulière l’évolution de ce dossier, tout en veillant, en parfaite collaboration avec l’Etat, à ce que les conditions soient réunies pour que cette restructuration des forces armées entraîne le moins de bouleversements possibles pour le Pays en général, et les communes en particulier.